L'aîné, Sterling, aimait la peinture jusqu’aux Impressionnistes, et le cadet l'art moderne presque exclusivement.
Amusant ce jugement de Sterling sur les artistes chers à son frère ennemi : « Bad painters and fakers. »
J’ai regretté que FVH ne soit pas avec moi, surtout pour les Degas et les Renoir de Sterling.
Rentré à Paris et chez Van Hove, j’ai trouvé celle-ci en train de photographier ses derniers tableaux et
Dans son atelier, deux tableaux sont encore en train et attendront la rentrée fin août pour être photographiés à leur tour : un dont j’ai déjà parlé et qui s’appellera « Le Vieux prunier » :
La feuille de papier calque qu'on voit à droite sur la toile sert à protéger les parties déjà peintes à cet endroit quand le peintre a besoin d'y prendre appui.
Toujours à la demande de ses galeristes en vue du dossier de presse de son expo de septembre, on a fait quelques photos de son atelier. Dans celle-ci,
L'atelier de Van Hove n'est pas non plus un "vrai" atelier de peintre. La plupart des vrais ateliers de peintre à Paris ont été transformés en appartements. Van Hove a pu faire l'inverse en transformant un appartement juste sous les toits en atelier.
2 commentaires:
Bonjour,
vous parlé de Degas et Renoir, c'est étonnant car le dessin photographié à votre retour (la jeune fille se coiffant) me fait beaucoup penser à certains dessins de Degas.
Cordialement
Hellbay
Ca a l'air anecdotique mais j'aimerais vous lire au sujet des noms des tableaux de Van Hove.
A quel moment Van Hove nomme-t-elle ses tableaux? J'ai remarque qu'elle y accorde un soin particulier. Les titres deja font rever, evoquent un univers, racontent une histoire. Eprouve-t-elle le besoin de nommer ses tableaux pour les faire exister? Est-ce toujours evident? Racontez...
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